La croyance en Dieu agit positivement sur le cerveau

"Canada - Des neurologues de l’université de Toronto ont découvert que l’activité du cerveau humain était liée aux croyances religieuses des individus. Pour démontrer cela, les scientifiques ont fait passer des tests à différentes personnes divisées en 2 catégories : les croyants et les athées. Toutes ont été placées dans des scanners afin de mesurer l’activité de leur cerveau durant les tests. L’épreuve consistait en une série de questions dont il fallait anticiper la réponse. Les candidats prenaient ensuite connaissance de cette dernière.


Les chercheurs ont remarqué que chez les athées, une zone du cerveau appelée cortex cingulaire antérieur était beaucoup plus fortement stimulée que chez les croyants. Le cortex cingulaire antérieur régule des fonctions comme la pression artérielle, le rythme cardiaque et certaines fonctions cognitives comme les émotions, la prise de décision, l’empathie mais surtout elle est la zone qui nous permet d’anticiper l’avenir.


Selon les conclusions des auteurs de l'étude, parues dans la revue Psychological Science, quand un croyant s’attendant à avoir la bonne réponse se rend compte du contraire, cette aire du cerveau s’active beaucoup moins car il réagit plus faiblement à l’imprévu que le cerveau d’une personne athée. En effet, chez les croyants, tout évènement peut être reconsidéré de manière à rendre Dieu acteur de celui-ci. S’il vous arrive quelque chose de totalement inattendu et que vous croyez en Dieu, le scénario peut-être remanié car Dieu "a voulu que cela arrive". Il n’y a alors pas de question à se poser, d'où une activation moindre de cette région du cortex" (Source Magazine Cerveau et Psycho- 13 mai 2009).


Un cortex cingulaire antérieur qui fonctionne au ralenti entraîne moins de tension psychique ; on se préoccupe moins des incertitudes qui entourent l'avenir, on cherche moins à explorer les possibles et à guetter les signes qui confirment ou infirment ses prévisions. 


Statistiquement l'état naturel du cerveau humain reste, massivement et incontestablement, la croyance en Dieu... Donc, c’est l’athéisme qui modifie le cerveau, non la croyance en Dieu! Les cortex cingulaires des athées sont anormalement sur-excités quand ils se trompent. La religion n’est pas un anxiolytique, c'est l'athéisme qui est un facteur de stress! On peut même supposer, qu'à terme, le cortex cingulaire étant trop sollicité chez les athées, il se fatigue et tombe malade. Y aurait-il plus de maladies neurodégénératives chez les athées?

La croyance en Dieu agit positivement sur le cerveau
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
M
et bien je croyais avoir tout entendu! cette façon de détourner la science est magistrale bravo!
Répondre
C
salut<br /> à tous
Répondre
C
salut je viens d'apparaitre
Répondre
Sciences&Religion © 2023 -  Hébergé par Overblog