Les fossiles révèlent une vérité à propos des êtres vivants
-
Les fossiles découverts à ce jour possèdent deux importantes caractéristiques,
contradictoires avec la théorie de l'évolution :
1. Stagnation : Les espèces ne présentent aucun changement au cours de leur existence sur terre. Leur structure reste la même depuis leur
première apparition jusqu'à leur extinction. Les modifications morphologiques (de forme) sont généralement mineures et ne suivent pas une direction spécifique.
2. Apparition spontanée : Aucune espèce n'apparut graduellement en se différentiant petit à petit de ses prétendus ancêtres. Les êtres
vivants naquirent spontanément et "complètement formés".
Ces deux éléments pointent vers la création, sans aucun processus d'évolution ni étapes intermédiaires de développement. Les êtres vivants n'acquirent pas leurs caractéristiques successivement,
mais toutes en une seule fois : au moment de leur création.
Darwin, lui-même, savait que les archives fossiles réfutaient sa théorie de l'évolution, mais les darwinistes sont peu enclins à l'admettre. Dans le chapitre intitulé "Les difficultés sur la
théorie" dans son livre L'origine des espèces, Darwin reconnaît que la théorie de l'évolution ne peut expliquer les fossiles :
+Si les espèces descendent d'autres espèces suite à d'imperceptibles progressions, pourquoi ne trouve-t-on pas partout d'innombrables formes transitionnelles ? Pourquoi la nature n'est-elle pas
désordonnée alors que, comme nous pouvons le voir, les espèces sont bien définies ? … Mais, d'après cette théorie, de nombreuses formes transitionnelles ont dû exister. Pourquoi ne les trouve-ton
pas incrustées dans la croûte terrestre ? … Pourquoi donc toutes les formations et strates géologiques ne regorgent pas de liens intermédiaires ? La géologie ne révèle assurément aucune chaîne
organique si finement graduée ; et cela est, peut-être, l'objection la plus évidente et la plus sérieuse opposable à ma théorie. (Charles Darwin, The Origin of Species, Oxford University Press,
New York, 1998, pp. 140, 141, 227)
Darwin proposait comme argument à l'absence de fossiles de formes intermédiaires : "Il n'y a pas de formes intermédiaires maintenant, mais on les trouvera à force de recherches successives."
Cette allégation ne s'est pas vérifiée. Les données à ce jour montrent que les archives fossiles sont extraordinairement riches.
Sur les milliers de millions de spécimens obtenus dans différentes régions du monde, quelques
250.000 espèces distinctes ont été décrites. La plupart présentent une incroyable ressemblance avec les
1,5 milliard d'espèces vivantes aujourd'hui. Etant donné l'absence de formes intermédiaires dans les archives fossiles aussi riches, il est impossible que de telles formes soient découvertes au
cours de nouvelles excavations. Les archives fossiles ne proposent pas une seule "forme intermédiaire" que les évolutionnistes peuvent utiliser comme preuve, mais au contraire fournit des
millions de spécimens invalidant le principe de l'évolution. Les plus probants sont les "fossiles vivants" dont on trouve aujourd'hui encore des exemples vivants. Ils vécurent au cours de
différentes périodes géologiques, et sont la preuve de la création, puisqu'ils ne présentent aucune différence.
Voici certains exemples :
CRABE
Age : 50 millions d'années
Localisation : Oregon
Période : Eocène
Il est frappant de voir à propos des fossiles qu'aucun d'eux n'a subi de changement au cours de toutes les périodes géologiques. Donc sur des dizaines de millions voire des centaines de millions
d'années, les créatures sont restées telles qu'elles étaient au moment de leurs apparitions. Cela prouve que les êtres vivants n'ont pas évolué.
Les crabes n'ont pas changé non plus depuis 50 millions d'années. Les crabes d'aujourd'hui sont identiques à ceux datant de plusieurs millions d'années.
SARDINE
Age : 54 à 37 millions d’années
Localisation : Formation Green River, Wyoming, Etats-Unis
Période : Eocène
Si les affirmations des évolutionnistes étaient justes, alors les fossiles de sardines devraient présenter des différences considérables avec leurs homologues contemporains. Les fossiles de
sardines devraient porter les signes du prétendu processus évolutionniste revendiqué par les darwinistes. Or, aucune trace de cet ordre n’a jamais été découverte, ni chez les sardines, ni chez
les autres êtres dans la nature, parce que, contrairement à ce que veulent nous faire croire les évolutionnistes, la vie n’est pas le produit de coïncidences aveugles.
FEUILLE DE SUMAC
Age : 54 à 37 millions d'années
Taille : 25 millimètres
Localisation : Uintah County, Utah
Formation : Formation Green River
Période : Eocène
Comme les autres êtres vivants, les espèces végétales apparurent pleinement formées et dotées de leurs structures complexes. En d'autres termes, elles furent créées avec toutes leurs
caractéristiques intactes. Des centaines de milliers de fossiles végétaux présents dans les strates géologiques le prouvent bien. Les évolutionnistes sont incapables de
fournir des fossiles mi-pin, mi-saule, mi-mousse, miorchidée, ou mi-oeillet. D'autre part, les fossiles disponibles
montrent que les saules ont toujours été des saules, les pins des pins, les épicéas des épicéas et les platanes des platanes. Chaque fossile datant de millions d'années réfute le principe
d'évolution. Ce fossile de sumac, âgé de 54 à 37 millions d'années, est une autre preuve des tromperies darwinistes.
CRANE D'OURS NORD AMERICAIN
Age : 50.000 ans
Taille : 26,6 centimètres
Localisation : Michigan
Période : Pléistocène
Signalant quelques similarités anatomiques entre les ours et les chiens, les évolutionnistes affirment que ces deux espèces descendent d'un même ancêtre. Or, les fossiles découverts ne viennent
pas confirmer cette allégation. Pas un seul fossile appartenant à une créature mi-chien/mi-ours n'a été trouvé à ce jour. Pourtant des milliers de fossiles montrent que les ours ont toujours été
des ours et les chiens ont toujours été des chiens.
Source: http://www.mensongedelevolution.com/index.php